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#LeMondeDeDemain : les chaînes de production robotisées

par Alp ICT

40e émission #LeMondeDeDemain sur Léman Bleu

La production robotisée, un domaine en constante évolution que les entreprises genevoises exploitent avec talent. Ces systèmes intelligents apportent toujours plus de flexibilité dans la production et de valeur ajoutée pour l’industrie. On vous emmène chez LEM et Selexis, deux entreprises auxquelles la robotique offre des solutions toujours plus innovantes et hautement spécialisées.

Replay de l’émission sur la production robotisée:

Quels sont les principaux apports de la robotisation dans la chaîne de production industrielle?

Reportage LEM: des lignes de production intelligentes

Agissant notamment dans le secteur des transports, l’entreprise LEM met en oeuvre au coeur de ses unités de production des robots collaboratifs ou dotés d’intelligence artificielle. Ils interviennent à différents niveaux sur les lignes de production, qu’il s’agisse d’assemblage mécanique, de calibration ou de test. Tout en permettant aux employés de remonter sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, l’amélioration significative de la précision et de la productivité que permet la robotisation génère un triple avantage : augmentation des volumes de production, compétitivité accrue des coûts unitaires et amélioration de la qualité.  

Reportage Selexis: la démocratisation de la robotisation

Actif dans le développement de lignées cellulaires et la combinaison d’éléments génétiques, Selexis a également trouvé dans la robotisation l’opportunité de libérer ses opérateurs des tâches les plus répétitives. Grâce au développement de machines-outils personnalisées, l’entreprise a pu accéder à la robotisation plus communément envisagée dans le cadre de très gros volume de production. C’est donc l’illustration parfaite de la démocratisation des chaînes de production robotisées permettant des gains importants en matière de précision et de qualité.

Interview du Dr. Michèle Lauria, professeur HES de microtechnique et génie mécanique à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève (HEPIA)

Lente, mais constante, c’est le constat de Michel Lauria au sujet de l’évolution de la robotisation dans nos sociétés. Pour lui, les plus grandes évolutions se feront quand on sera en mesure de « lâcher nos robots dans l’environnement humain ». Un partage d’espace à organiser pour renforcer le développement et l’adoption à plus grande échelle de la robotique. Un défi qu’il met en oeuvre au quotidien dans le cadre des projets qui lui sont confiés. Dans des domaines aussi variés que le biomédicale, l’aérospatial ou l’industrie, il propose avec ces équipes multi-compétences des solutions d’instrumentation mécanique afin d’améliorer le cycle de production. 

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